Dépêche de l’AFP* :
Le bruit court que, sur le modèle de la taxe carbone, on pourrait capitaliser les mots économisés dans les poèmes brefs avec la possibilité de pouvoir les réutiliser dans des haïkus
dépassant les 17 syllabes réglementaires du protocole de Tokyo.
Le parti des vers a fait savoir qu’il trouvait cette mesure intéressante. En revanche le parti radical, dans un très bref communiqué, s’oppose à ces quotas et à ce qu’il considère comme "une
pollution de l’environnement du haïku" ; il annonce, "pour couper court aux rumeurs", qu’il continuera à œuvrer, sans vers et contre tout, pour la diminution des émissions de haïku à effet
de manches.
*Agence France Poésie